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Le
Progrès du 01/01/2019 |
Retour
en images sur l’année 2018 |
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L’année
2018 vient de s’achever. Elle aura été
marquée par les nombreux travaux de
voirie et sur certains bâtiments communaux,
réalisés par la municipalité.
D’autres événements sont
notables, comme l’ouverture du relais
poste dans le tabac-presse, en janvier, la
fête des classes qui, en avril, a rassemblé
167 convives, les visites historiques de la
commune, les trois jours d’exposition
sur la Grande Guerre, l’inauguration
de l’extension du local des sapeurs-pompiers
ou encore l’engagement de la commune
dans le dispositif participation citoyenne.
R.M.. |
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Le
Progrès du /01/2019 |
Sandrine
Métras, une femme passionnée
par le travail de la terre
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Arrivée
dans la commune il y a une dizaine d’années,
Sandrine partage son temps entre sa profession
de manipulatrice en radiologie à Villefranche-sur-Saône
et son activité de maraîchère. |
« J’ai toujours adoré travailler
la terre, affirme Sandrine Métras,
la toute nouvelle maraîchère
jasseronnaise installée dans le quartier
des Bonnes Terres.
J’apprends sur le tas, tout en étant
une addict des magazines qui traitent de la
culture.
En lisant ces revues j’ai beaucoup appris.
Pour me lancer j’ai suivi une formation
administrative et juridique à la Chambre
d’agriculture de Bourg. »
Aujourd’hui, Sandrine Métras
cultive sur 3 000 m2 tout un tas de tomates,
courgettes, aubergines et poivrons. Une agriculture
raisonnée où les quantités
d’intrants sont limitées.
« Je fais les trois-quarts de mes plants,
j’utilise la tonde que je récupère
pour pailler mes légumes afin d’arroser
le moins possible et je traite avec du savon
noir, du vinaigre blanc ou encore de l’huile
de colza. Je ne cherche pas à faire
du rendement. C’est avant tout pour
le plaisir que je cultive. Mais parfois il
est difficile de concilier la vie de famille,
mon travail au centre hospitalier et la culture.
»
Les projets d’une
« challengeuse »
Un défi que Sandrine réussit
pourtant à relever, affichant même
d’autres projets ambitieux.
« Autour de ma parcelle, je vais développer
la culture d’arbres fruitiers. Également,
le projet qui me tient le plus à cœur,
c’est la possibilité de vendre
ma production dans un magasin qui sera repris
en janvier par un commerçant jasseronnais.
Pour l’instant, je vends par le bouche-à-oreille,
par mes connaissances professionnelles et
celles de mon mari. Avec un étal au
cœur du village, les acheteurs pourront
goûter aux légumes produits à
Jasseron. »
R.M.. |
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Le
Progrès du 21/02/2019 |
Naissance
: Bienvenue à Leandro
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Depuis
le 19 février, Marina Germain et Patrick
Martin n’ont d’yeux que pour Leandro,
leur premier bébé.
Il
a fait entendre sa petite voix à 1
h 38 à la maternité de Bourg-en-Bresse
et il pesait 4,050 kg.
Leandro. Photo Dominique VOIDEY
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Le
Progrès du 24/02/2019 |
Insolite
Une foire s’est installée sur
l’aire d’autoroute
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Pour
la troisième année consécutive,
l’office de tourisme du bassin de Bourg-en-Bresse
organisait, hier samedi, une opération
de promotion sur l’aire de Bourg-Jasseron
de l’autoroute A40. |
En
ce jour de grand chassé-croisé
sur les routes, de nombreux touristes ont
pu, au travers de la quinzaine de stands mis
en place, découvrir un panel important
de ce qui se fait sur l’agglomération
du bassin de Bourg-en-Bresse. Tant sur le
plan gastronomique que sportif ou culturel.
« Nous avons choisi d’installer
notre village sur l’aire dans le sens
des retours, a expliqué Vivien Campion,
directeur de l’office de tourisme.
Les personnes sont moins pressées et
donc plus disponibles
. Il y a plus d’exposants que les années
précédentes avec quelques nouveautés.
Il faut que tout cela donne envie de revenir.
»
Côté gastronomie, le public a
pu trouver des produits safranés, des
productions fromagères ou encore l’incontournable
volaille de Bresse.
Côté patrimoine et culture, création
de vitrail et présentation du Monastère
royal de Brou ont complété cette
présentation.
Des promenades à poneys étaient
proposées par la société
d’équitation bressane. Enfin,
le groupe folklorique Pays de Bresse a apporté
une touche festive à l’événement.
L’initiative a permis aux vacanciers
de décompresser avant de reprendre
la route.
R.M.. |
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Le
Progrès du 19/02/2019 |
Nécrologie
Adieu à Jean Gaudillat
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À
l’harmonie de Ceyzeriat ou des musiciens
du soir, la clarinette de Jean Gaudillat donnait
à ces ensembles la tonalité
sur des partitions d’amitiés
musicales partagées. |
Il aimait terminer un banquet en interprétant
sa chanson fétiche Mes parents sont
venus me chercher.
À la belote avec son épouse
Paulette, ils formaient une doublette intraitable
qu’il fallait mieux éviter.
La vie de Jean s’est faite de joies
et de bonheurs avec l’arrivée
de deux enfants, de petites enfants mais aussi
de grandes tristesses.
C’était le drame de la perte
d’un fils et quelques années
plus tard, d’une belle fille.
Cette longue vie de 86 ans s’est ponctuée
d’une riche activité professionnelle
au sein de la SNCF et il en gardait de la
nostalgie lorsqu’il évoquait
ses multiples mutations, avec un petit faible
à la frontière franco-suisse,
à Vallorbe.
Musicien dans l’âme, ce natif
de Charolles (Saône-et-Loire) s’est
investi dès son arrivée à
Jasseron, en 1986, dans de nombreuses associations
de la commune : des amis de Jasseron, au fleurissement
ou au club des anciens.
La boîte de sa clarinette s’est
fermée sur une vie. Mais elle laissera
échapper à jamais des notes
timbrées d’un bonheur communicatif.
Mario
Molard |
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Le
Progrès du 27/02/2019 |
Rallye
automobile Six gazelles se lancent dans
une belle aventure
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Trois
équipages se sont préparés
à Jasseron pour un rallye uniquement
féminin, qui se déroulera du
15 au 30 mars, au Maroc. Pour les six gazelles,
c’est le défi d’une vie. |
Dimanche,
dans l’atelier du garage Maréchal,
elles étaient six femmes à s’affairer
autour des moteurs ou à apprendre à
réparer un pneu percé avec simplement
une mèche et une aiguille.
Dans un mois, elles participeront à
une aventure unique, le Rallye des gazelles,
une course féminine où l’orientation
prévaut sur la vitesse. « J’avais
envie de sortir de ma zone de confort, de
me dire que j’étais capable de
gérer une voiture », raconte
Éva.
Monter une association et trouver 30 000 €
« Oui, on n’aura plus notre petit
canapé ou notre téléphone
», rigole Élise, qui a baptisé
leur voiture Jean-Louis.
La complicité saute aux yeux entre
les deux femmes. Avec elles, pas de jalouses,
elles seront tour à tour pilote et
copilote pendant les neuf jours de course.
Comme les autres équipages, elles ont
monté une association pour participer
au rallye. « Le défi, déjà,
c’était de trouver 30 000 €.
Le deuxième sera d’arriver à
la plage d’Essaouira », explique
Florence.
Elles roulent pour une
association caritative
« Moi, je n’ai pas le permis,
alors je tiendrai la carte.
C’est un gros travail d’orientation
car on n’a pas de road-book ou de GPS.
Il faut repérer soi-même les
balises et s’orienter avec la carte
et la boussole », ajoute Sandrine. Les
deux copines roulent au profit d’une
association de parents d’enfants atteints
de leucémie.
« On veut se surpasser, montrer qu’on
peut se débrouiller. Mais c’est
aussi une aventure humaine », explique
Sandrine.
« L’esprit de ce rallye c’est
aussi le partage entre femmes. Si on est planté
dans une dune, on peut s’entraider entre
concurrentes », rappelle Florence. «
Avant même le départ, le rallye
nous a déjà beaucoup appris.
On court pour une association de lutte contre
les cancers pédiatriques. Il a fallu
récolter des fonds, devenir commerciales,
organiser des événements. Certains
n’avaient pas grand chose mais ont donné
leur chemise pour l’asso, raconte Anne-Laure.
On s’était installées
dans une routine avec le boulot, les enfants,
je voulais me confronter à la fatigue,
au danger, apprendre sur moi. »
« Ça va chauffer entre nous car
on a deux caractères forts »,
prévoit Manuela, sa copilote qui s’est
« révélée »
en découvrant la navigation à
l’aide d’une carte. Comme les
autres équipages, elles sont prêtes
pour l’aventure. Et « peu importe
le classement », elles ont déjà
tant gagné.
Avant le départ, le rallye nous a déjà
beaucoup appris. Il a fallu récolter
des fonds et organiser des événements.
Anne-Laure, une des participantes
Frédéric
BOUDOURESQUE |
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Le
Progrès du 27/02/2019 |
Naissance
Bienvenue à Julianna
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Jonathan
Mazuir et Aurélie Rivoire ont eu
le bonheur d’accueillir Julianna,
le 22 février, à 20 h 25,
à la maternité de Bourg-en-Bresse.
Elle
pesait 2,370 kg. Océane, 15 ans,
Mélissa, 12 ans, Luna, 11 ans, Marine,
10 ans et Virginie, 10 ans, font déjà
partie de la famille.
Photo Maryse CASTIGLIA
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